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Franz Wolf est le protagoniste du film L'assassin idéal, réalisé en 2014 par Johannes Grieser. Bien que le film soit inspiré de fait réels, Franz est totalement fictif, et joué par Hinnerk Schonemann.

En 1999, afin de faire équipe avec Yvonne Weber, une policière de l'ouest, Franz s'est lancé dans une vielle affaire de meurtre classée depuis longtemps. Bien que le coupable ai été désigné depuis longtemps, quelques éléments restes incohérents.

Histoire[]

Afin d'accueillir la nouvelle dans l'équipe, son chef lui a confié une affaire non-résolue datant de 1983, sur le meurtre de Doreen Wojcik dont le meurtrier serait son petit ami de l'époque : Conrad Ritter. Conrad était une star de la guitare de l'ex-RDA, connu pour être volage. Afin de commencer l'enquête, le duo s'est rendu sur le lieu de découverte du meurtre, à plusieurs mètres du véritable lieu du meurtre.

Après y être allé, Franz a expliqué à Yvonne comment Ritter avait tué sa petite amie en l'étranglant lors d'une pause de son concert, condamné à 15 ans de prison, il a ensuite été acquitté une année après. Doreen voulait se rendre à la salle de spectacle. Avec quelques calculs simples, Yvonne a démontré que Ritter n'a pas eu le temps de la tuer, même si ça reste plausible. Le lendemain, ils se sont rendus au barbecue de Muller, son collègue et ami. C'est là que son chef, Wolfgang Schulte, lui a demandé l'avancement de l'affaire, leur rappelant que le meurtre d'un néo-nazi devait aussi être élucidé au plus vite.

Plus tard au commissariat, Franz a retrouvé Yvonne dans son bureau en train d'enquêter sur l'affaire Ritter. Elle lui a dit que durant son interrogatoire, Ritter avait avoué trois fois puis rétracté autant, non pas en 8 heures (la durée normale), mais en 350 heures, comme indiqué dans le cahier. Franz lui a aussi dit qu'un témoin était sûre d'avoir vu Ritter pendant la pause. Yvonne a donc voulue aller voir Ritter, vivant en ermite, puisqu'il n'y avait aucun autre suspect.

Après vérification auprès de Muller, il s'est avéré que tous les témoignage avait été vérifiés, et qu'il n'y avait aucun autre suspect. De plus, il n'y avait aucune preuve contre lui, jusqu'aux deux années suivantes où son ex-femme a avoué avoir tué Doreen avec lui, menant à la réouverture de l'enquête. Un an plus tard, il a été acquitté faute de preuves. De plus, le cahier n'a pas été contre-signé : Ritter n'a pas été questionné durant 350 heures.

En allant chez Ritter, ce-dernier n'a pas voulu leur parler. Il a juste expliqué que le tabouret planté de vis où il était assis, était la preuve que les policiers sont sadiques. Le soir, Franz a parlé à Muller et son chef du prétendu tabouret, ce qui est impossible selon eux. Le lendemain, Yvonne, toujours dans le bureau de Franz, enquête encore sur l'affaire Ritter, même s'il essaye de la ramener sur l'affaire du néo-nazi.

Franz lui accorde un dernier coup de main pour trouver les procès verbaux manquants, qui se trouveraient dans une ville voisine : Gotha. Dans les archives concernées, le reste des rapports ont été trouvés, mais aussi une découverte affreuse : un tabouret avec des vis, concordant avec le témoignage de Ritter. De retour au commissariat avec les dossiers, Franz a expliqué sa découverte sur le tabouret à Muller et Schulte. Ce-dernier leur a expressément demandé de retourner sur le meurtre du néo-nazi.

Schulte a pris Franz à part pour lui parler. Il lui a expliqué que les aveux étaient nécessaires pour coincer Ritter. Il a ensuite demandé à Yvonne d'arrêter d'enquêter sur cette affaire et de s'intéresser au meurtre du néo-nazi. Il lui accorde alors une dernière question, à laquelle il n'arrive pas à répondre : "C'est quoi la subdivision 1 ?". En effet, cette organisation, dirigée à l'époque par Carl André, n'intervient que lorsqu'un policier est impliqué dans l'affaire. Après avoir parlé à André, il leur a dit que le père de Doreen était policier, d'où l'intervention de la Stasie.

Le lendemain, tous les dossiers avaient disparus. Schulte leur a expliqué que les dossiers avaient été demandés par Gotha pour un crime commis récemment. Il leur a donc demandé de retourner sur l'affaire du néo-nazi. Heureusement, Yvonne avait photocopié tous les dossiers clandestinement la veille. Afin de continuer à enquêter, ils se sont rendus près d'un lac. En résumé, les horaires de meurtre ont été changés lors des deux procès. De plus, le témoin ayant vu Doreen pour la dernière fois l'a vue peu après 19h, pourtant le témoin a ensuite affirmé que c'était vers 20h. Un policier lui avait demandé si l'horaire était bon, causant le doute. Ce policier était André. Toutefois, Mme Muller avait vu Doreen peu après, ce qui n'était pas mentionnée dans le dossier. Elle n'a pas été convoquée en témoin, son mari et M. Voss ont pris sa déposition, et l'horaire ne concorde pas avec les témoignages.

Bientôt, tous les délits commis en ex-RDA ne pourront plus être prescrits, d'où la nécessité de trouver le meurtrier. Le lendemain, Franz s'est rendu à l'anniversaire de mariage de Schulte. C'est ici que Schulte lui a demandé d'interrompre ses recherches dans l'affaire Ritter, en lui rappelant que sans lui, il ne pourrait pas être policier. Bien après, Yvonne a découvert que le médecin légiste a eu le droit de franchir le mur après avoir modifié l'heure du décès.

De retour chez Ritter, Ce dernier a accepté de les recevoir seulement après avoir confirmé l'existence du tabouret. Ritter leur a expliqué qu'aucun homme ne l'aimait, à cause de ses séductions sur toutes les femmes. La veille où Ritter a largué son ex-femme, elle a déclaré avoir été une complice du meurtre. Ritter a aussi parlé de la souffrance causée par le tabouret, mais aussi de ses trois bourreaux : Muller, André et Bulke (un grand membre de la Stasie). Schulte faisait aussi partie de la partie, mais en étant amical et non pas agressif.

Ils sont alors voir Mme Martins, le témoin ayant innocenté Ritter. Elle leur a dit que son supérieur avait reçu un appel pour lui demander de venir au tribunal. Vers 20h 30, elle a vu Ritter aux toilettes avec une femme. Ce témoignage a soulevé une grosse question : qui était la femme. Il n'y a plus qu'un témoin à interroger : Walter Voss, un ancien policier qui était sur l'enquête.

Ce dernier leur a dit qu'il avait enquêté sur Anton Mesmer. Le lieu du meurtre était d'ailleurs sur le terrain de chasse de Mesmer, un homme haut-gradé. Le dossier a été repris par Carl André, car un policier ne pouvait pas enquêter sur son collègue. De plus, des cheveux ont été trouvés sur le manteau de la victime, et Voss avait gardé des cheveux de Mesmer. Il faut savoir aussi que Mesmer organisait des parties de jambes en l'air dans un petit pavillon isolé dans la forêt.

Le soir venu, Franz et Yvonne ont donné une convocation à André. Le lendemain, Bulke est venu au commissariat. Très énervé, il est ressorti quelques temps après. Plus tard, Schutle a demandé à récupérer les dossiers de l'affaire. De plus, Yvonne a été mutée à Gotha, et Franz part en formation durant un an.

Quelques mois plus tard, Yvonne a repris contact avec Franz, suite à une découverte affligeante. Le manteau et les cheveux du meurtrier ont été retrouvés. Le test ADN doit être rapide, étant donné que la prescription commence dans huit jours. Franz est donc allé chez Mesmer, mais il est mort deux semaines auparavant. Ritter a été aussi invité au cimetière afin de lui montrer le véritable meurtrier. Bien sûr, ce dernier a refusé de révéler le nom de la femme avec qui il était ce soir là.

Schuttle, Muller, André et Bulke ont été interrogés sans succès, chacun se couvrant l'un, l'autre. Faute de preuves, l'enquête n'a pas donné de suite et la date de prescription a été dépassée. Franz s'est reconverti en vendeur de voitures et les complices n'ont pas été arrêtés.

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