Wiki Héros
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Reda "Arès" Kowalski est le protagoniste du film français Arès, sorti en 2016 et réalisé par Jean-Patrick Benes. Il est joué par Ola Rapace.

Reda était un boxeur connu sous le nom de "Arès". Après s'être retiré du métier, Reda a décidé de participer au tournoi européen pour gagner suffisamment d'argent afin de libérer sa sœur de prison. Donevia lui a fourni un dopage adéquat pour affronter ses adversaires.

Histoire[]

En 2035, le gouvernement français s'est effondré et les entreprises pharmaceutiques ont pris le contrôle du pays. Les dopages et expérimentations humaines sont alors devenus légaux. Reda est devenu un boxeur, aidé par les dopages. Malheureusement, des défaites répétées l'ont contraint à abandonner sa carrière. Devenu chômeur, avec des petits boulots pour la police parfois, Reda a, un jour, été contacté par Donevia, une entreprise pharmaceutique. Celle-ci lui a proposé de participer au tournoi européen, à l'aide d'un dopage en développement dont il serait le seul à être compatible. Reda a tout de suite refusé.

Le lendemain matin, Reda a appris que sa sœur Carla, activiste engagée contre les expériences humaines, avait été arrêtée et envoyée en prison pour possession illégale d'arme à feu (assimilé à du terrorisme). Altman, une policière et l'amante de Reda, lui a proposé de faire disparaitre le dossier de sa sœur pour 100 000 €. Pour cela, Reda a accepté l'offre de Donevia. En parallèle, il a confié la garde de ses deux nièces à Myotosis, un transsexuel qui est son voisin, à qui il a aussi demandé de parier la totalité de ses économies.

Par manque de chance, Reda est tombé face au meilleur boxeur. Heureusement, le dopage de Donevia, qui ne dure que 5 minutes, lui a permis de gagner par KO. Ayant amassé plus de 180 000€, Reda s'est rendu en prison pour libérer sa sœur. Toutefois, il a appris que sa sœur avait été tuée par d'autres prisonniers. Décidé à venger sa sœur, Reda a appris par Boris, un ami de Carla, qu'elle avait été dénoncée par un appel téléphonique passé dans une cabine publique en face du lieu où il pratique la boxe. Reda a rapidement compris que Donevia et son coach avaient poussé Reda à combattre pour augmenter leur profit. En effet, la victoire de Reda face au meilleur boxeur français a augmenté les ventes de Donevia de 127%.

Lors du seconde combat, Reda a fait en sorte de ne pas prendre son dopage afin de perdre et de ruiner Donevia. Cependant, après avoir assassiné son coach et donné à Myotosis le numéro de Altman (en cas de danger), il a été rattrapé par Donevia. L'entreprise avait aussi en sa possession ses nièces, détenues captives par Altman (qui travaillait pour Donevia en secret).

Sous la menace de Donevia, Reda a été forcé à revenir au siège social pour faire des démonstrations de sa force devant les investisseurs. Cependant, après avoir reçu une injection de dopage, Reda a reçu l'appel de Boris et Myotosis pour l'informer qu'ils venaient de tuer Altman et de récupérer les filles. Libéré de la menace, Reda a défenestré le président de Donevia et a abattu les deux gardes. Alors qu'il lui restait peu de temps avant la fin du dopage, Reda a compris que Donevia continuerait de le pourchasser tant qu'il était encore en vie - car c'est le seul compatible avec le dopage.

Reda a donc fourni à Boris toutes les données sur les expérimentations de Donevia et l'identité des 30 125 morts causées. Après quoi, il a appelé sa nièce pour lui faire ses adieux. Il s'est ensuite tiré une balle dans la tête. A titre posthume, sa figure est restée le symbole de l'espoir et de la lutte contre les corporations pharmaceutiques.

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