“ | Je suis un sociopathe de haut-niveau. | „ |
~ La catchphrase de Sherlock |
Sherlock Holmes est le principal protagoniste de la série télévisée de 2010 Sherlock de la BBC. Il est le seul détective consultant au monde, une profession qu'il a créée pour lui-même.
Basé à Londres, il est souvent consulté par Greg Lestrade de New Scotland Yard, qui emmène généralement son meilleur ami et ancien colocataire, John Watson, sur des affaires.
Il s'intéresse vivement aux crimes inhabituels ou bizarres, sans lesquels il s'ennuie rapidement, s'appuyant sur la nicotine pour maintenir son cerveau actif, bien que dans le passé, il ait touché à des drogues illégales comme l'héroïne pour se divertir.
Il a été incarné par Benedict Cumberbatch, qui a également joué le rôle du Docteur Strange dans l'Univers cinématographique Marvel.
Vue d'ensemble[]
Sherlock est un penseur et un observateur ; son incroyable capacité à remarquer et à tirer des conclusions à partir de détails apparemment insignifiants est son principal outil pour résoudre les crimes sur lesquels il enquête. Il utilise aussi souvent son "palais de l'esprit", un outil qui lui permet de se souvenir des plus petits détails et d'organiser visuellement ses souvenirs. Cependant, sa personnalité inhabituelle et quelque peu antisociale a fait que de nombreux membres des forces de police officielles se méfient et ne l'aiment pas.
Sherlock prétend à plusieurs reprises être un "sociopathe de haut niveau", mais selon Jim Moriarty, ainsi que les propres actions et manifestations d'émotion et d'empathie de Sherlock, cela pourrait ne pas être vrai. Sherlock ne semble présenter aucun des symptômes d'un trouble de la personnalité antisociale. John plaisante une fois, pour expliquer le comportement de Sherlock, en disant qu'il pourrait souffrir du syndrome d'Asperger, un trouble du spectre autistique, bien que cela n'ait jamais été confirmé.[1]
Biographie[]
Sherlock est né le 6 janvier 1983 et a passé sa petite enfance à Musgrave Hall, la maison familiale des Holmes située quelque part à la campagne. Il a été élevé par sa mère (une mathématicienne de génie), aux côtés de son père, qui se décrit comme "un peu idiot" par rapport à sa femme. Il a grandi avec son frère aîné Mycroft (de sept ans son aîné), qui, selon Sherlock, le rabaissait et essayait de l'effrayer avec des histoires de "vent d'Est". Il a également eu une sœur cadette, Eurus (un an plus jeune que lui), qui lui a appris le violon.
Pendant ses premières années, Sherlock se lie d'amitié avec un garçon nommé Victor Trevor, avec lequel il devient "inséparable". Ils jouaient souvent ensemble aux pirates, se surnommant l'un l'autre "Yellowbeard" (Sherlock) et "Redbeard" (Victor). Eurus est jaloux de l'amitié de Sherlock avec Victor et emprisonne Victor dans un puits profond, où il finira par mourir. Elle chante une chanson à Sherlock dans l'espoir qu'elle le mène à elle, mais Sherlock a mal compris les paroles comme un ensemble de directions qui le mèneraient à Victor.
L'animosité d'Eurus envers Sherlock à la suite de cela l'a amenée à brûler le Musgrave Hall, soi-disant pour le tuer.
Sherlock n'a jamais découvert la vérité sur le sort de Victor et a été gravement traumatisé, Mycroft affirmant plus tard qu'il avait beaucoup changé après coup par rapport à l'"enfant émotionnel" qu'il avait été avant. Pour faire face à cette perte, Sherlock se souvient d'avoir possédé un chien de compagnie nommé Barbe Rouge à la place de ses souvenirs de Victor. Lorsque Eurus a été emmené et institutionnalisé, le souvenir qu'il en avait s'est progressivement effacé avec le temps.
En 1989, Sherlock apprend la mort de l'enfant nageur Carl Powers. Après avoir lu que les entraîneurs de Powers avaient disparu, Sherlock a commencé à considérer l'affaire comme suspecte. Il a tenté d'obtenir l'aide des forces de police, mais ses tentatives ont été rejetées et l'affaire a finalement été classée.
Sherlock est allé à l'université pour lire la chimie, mais il était impopulaire auprès des autres étudiants. Sebastian Wilkes, qui était à l'université avec lui, raconte plus tard comment Sherlock "mettait tout le monde d'accord" en déduisant des choses sur leur vie privée.
On dit que Sherlock a lutté contre la drogue au cours des années précédentes, et qu'il a fini par conclure un accord avec Mycroft selon lequel il écrirait toujours une liste de tout ce qu'il avait pris. Il est sous-entendu que certaines de ces difficultés provenaient du traumatisme de Sherlock suite à la perte de Victor Trevor, comme Mycroft l'a noté dans "Redbeard" à l'époque où il avait trouvé Sherlock défoncé.
En 2004, Sherlock se lie d'amitié avec l'inspecteur Greg Lestrade, (après l'avoir aidé à résoudre une affaire) et, par l'intermédiaire de Lestrade, s'affilie à la police de Londres avec laquelle il entretient un partenariat assez difficile avec plusieurs policiers : Sally Donovan et Philip Anderson, en particulier, se méfient de lui en raison de son zèle excessif sur les scènes de crime et de son caractère sévère.
À un moment donné, Sherlock a réussi à accéder à l'hôpital St Bartholomew's, où il a utilisé le matériel pour mener des expériences. C'est là qu'il a rencontré la pathologiste Molly Hooper, qui a développé une affection secrète pour lui.[2]
Apparence[]
Sherlock est un homme grand et svelte qui n'apparaît qu'à la fin de la trentaine, avec une peau pâle et des cheveux foncés et bouclés. Son look est conçu pour se distinguer de John, qui est plus petit, avec des cheveux blonds raides. Ses yeux peuvent paraître argentés, bleus ou même verts selon la lumière. La tenue emblématique de Sherlock est composée d'un long manteau de fourrure, d'un col relevé (que John appelle "cool") et d'un foulard bleu foncé. Sous son manteau, il porte toujours un costume noir avec une chemise habillée, sans cravate. Le matin, dans son appartement, il se passe parfois de la veste du costume et porte à la place une robe de chambre en camel, cramoisi, bleu ou tartan. On peut également voir Sherlock porter le fameux chapeau à carreaux de chasse au cerf. Il est connu, à l'occasion, pour ne porter rien d'autre qu'un drap de lit.[3]
Personnalité[]
Le trait le plus remarquable de Sherlock est peut-être sa tendance à l'ennui. Il est continuellement agité par le manque de travail, décrivant la paix comme "détestable". Même si on lui propose une affaire, il ne l'accepte que s'il la trouve suffisamment attrayante (même s'il faut noter qu'il semble abaisser ses critères à mesure qu'il se désespère). En l'absence d'un dossier répondant à ses critères, il fera des efforts extrêmes pour se tenir occupé, comme tirer à plusieurs reprises sur le mur de son appartement avec des balles réelles, et même se tourner vers la drogue dans des situations plus extrêmes ; il prétend être un "consommateur" de stupéfiants à plusieurs reprises, ce qui contribue à augmenter son processus de réflexion. Il est même allé jusqu'à accuser la classe criminelle de relâchement, considérant que c'était la raison de son ennui.
Sherlock a une grande tendance à la manipulation et profite souvent des gens pour obtenir ce qu'il veut. Par exemple, sachant que Molly a le béguin pour lui, il la flattera parfois pour avoir accès à la morgue qu'il n'aurait pas autrement. John, en revanche, est parfois soumis à des expériences. Dans un cas particulier, lorsque Sherlock a besoin de tester une drogue, il la glisse en douce dans le café de John. Lorsque John essaie de dire "Je ne prends pas de sucre", Sherlock utilise effectivement un regard de "chiot botté" pour culpabiliser John et l'inciter à finir la boisson.
Il semble avoir un sens de l'humour, bien qu'il soit très sarcastique et qu'il puisse être assez sombre. Sherlock s'amuse, notamment, de la stupidité des autres par rapport à lui-même. Il fait aussi souvent des blagues aux dépens de son frère Mycroft, généralement sur ses habitudes alimentaires ou sur son travail de luxe. Sherlock est incroyablement peu amusé ; cependant, par le blog de John. Il trouve ridicules les titres que John donne à leurs cas, comme "L'interprète geek" ou "La blonde tachetée", et il trouve la célébrité qui vient avec le fait d'être un "phénomène Internet" de mauvais goût et drôle. Il a également été dissuadé par la perspective de devoir porter en public son "deerstalker", devenu une icône, pour les caméras. Dans "Le détective menteur", il la met avant d'aller manger un gâteau pour son anniversaire, en déclarant "Je suis Sherlock Holmes. Je porte ce satané chapeau."
Une qualité qui fait totalement défaut à Sherlock est le tact, qui est l'une des principales raisons pour lesquelles il est si mal aimé par tant de gens. Souvent, il ne remarque pas quand ses déductions précises sur la vie personnelle des autres les offensent, y compris l'implication qu'Anderson et Sally Donovan avaient une liaison - cela étant dit, aucun des deux n'a fait quoi que ce soit pour adoucir l'opinion qu'il avait d'eux. Il est incroyablement antagoniste envers les officiers de Scotland Yard, en particulier Anderson et Sally Donovan, ce qui est souvent relayé par une remarque acerbe de la part de ce dernier. Il semble cependant qu'avec le temps, Sherlock soit de plus en plus conscient de sa capacité à insulter, demandant parfois à John "Pas bon ?" lorsqu'il voit qu'il a contrarié quelqu'un.
Bien qu'il présente un extérieur froid et rude, Sherlock a un côté gentil et attentionné. Bien qu'il ait dit à John que le fait de ne pas se soucier des gens lui permet de faire plus facilement son travail, Sherlock se préoccupe des personnes impliquées dans ses affaires. Lors d'une de leurs premières affaires, lorsque Sarah, la petite amie de John, a été enlevée par des trafiquants chinois, Sherlock s'est attaché à la sauver plutôt qu'à attraper les trafiquants eux-mêmes et l'a réconfortée gentiment tout en la détachant, même s'il ne semblait pas l'aimer beaucoup auparavant. Et une fois de plus, lors de l'une de ses premières confrontations avec Moriarty, il semble très affecté émotionnellement lorsqu'il est incapable de sauver la vie d'une femme plus âgée. Un peu plus tard, à Baskerville, il tente de dissuader Henry de s'enlever la vie. Il réagit avec compassion envers sa jeune sœur, Eurus Holmes, en apprenant le secret de la chanson de son enfance. Quand Eurus est devenu muet après leur dernière partie au Musgrave Hall, Sherlock lui a rendu visite et a joué de son violon pour elle, ce qui a fini par provoquer une réaction de sa part. Il a continué à rendre visite à Sherrinford et à jouer pour Eurus au fil des ans, et a ensuite pu donner un récital de violon à leurs parents et à Mycroft, ce qui a permis à Eurus de se remettre d'une certaine manière de sa maladie mentale, et à Sherlock de s'occuper avec dévouement de sa nouvelle sœur, lui pardonnant apparemment sa responsabilité dans la mort de Victor Trevor et le traumatisme qui s'en est suivi. Il méprise également les criminels tels que Charles Augustus Magnussen, qui le dégoûte plus que tout autre criminel qu'il a jamais traité et décrit Culverton Smith comme un monstre.
Irene Adler en déduit qu'il croit en une puissance supérieure qui est lui-même, une affirmation que Sherlock n'a ni confirmée ni démentie.
Sherlock dirige son propre site web, The Science of Deduction.[4]
Capacités[]
- Intelligence de génie: Sherlock Holmes a un intellect extrêmement élevé et un sens de l'observation très développé. Il est probablement le quatrième personnage le plus intelligent de la série actuellement en vie, avec seulement son frère aîné Mycroft, sa sœur cadette Eurus et Charles Augustus Magnussen qui le surpassent en intelligence. Cependant, l'intelligence de Sherlock était suffisante pour qu'il puisse résister aux capacités de manipulation d'Eurus.
- Déduction: Sherlock possède de nombreuses capacités bien développées qui l'aident dans son travail de détective, notamment une profonde aptitude au raisonnement déductif.
- Enquête: Il utilise souvent une technique de récupération de la mémoire appelée "la méthode des loci", qu'il appelle son "palais de l'esprit". John décrit ce système de stockage des souvenirs comme le fait de les tracer sur une carte d'un lieu familier et de récupérer ces souvenirs en trouvant le chemin qui y mène, pour ne théoriquement jamais rien oublier. Pour utiliser cette technique, Sherlock a besoin de silence et d'espace pour lui-même afin de réduire les interférences extérieures.
- Lectures à froid: Lorsqu'il rencontre une personne, il la "scanne" souvent, en utilisant des éléments de son apparence et de son comportement pour arriver à des conclusions étonnamment précises sur son passé ou sa personnalité. Il effectue même parfois des "cold reading" dans un lieu tel qu'un appartement pour en déduire un trait lié au résident actuel. Ses lectures à froid sont généralement effectuées de manière subconsciente, car son cerveau les effectuait encore et déduisait des choses sur les personnes et les lieux devant lui lorsqu'il était fortement intoxiqué le soir de l'enterrement de vie de garçon de John et gravement déprimé après la mort de Mary. Cependant, Sherlock n'est pas infaillible, car il admet qu'"il y a toujours quelque chose" qui lui échappe ou qu'il interprète mal.
- Capacités d'espionnage: Sherlock a également fait preuve d'incroyables talents d'espion. Bien qu'il n'ait pas parlé à Irene Adler pendant des mois, Sherlock a pu la suivre au Pakistan, se faire passer pour son bourreau et lui sauver la vie, en gardant ce secret (peut-être) pour tout le monde.
- Artiste martial: Il fait également preuve d'une grande habileté dans les combats armés et non armés. En référence à son homologue Conan Doyle, les règles de la discipline de combat Baritsu pendent au-dessus de son lit. Il utilise souvent son raisonnement déductif pour identifier les faiblesses de ses adversaires avant de les frapper, ne perdant en combat que lorsqu'il est pris par surprise. Les compétences de Sherlock en combat non armé sont suffisamment grandes pour qu'il ait pu combattre un assassin professionnel sur un pied d'égalité pendant une longue période. Cependant, il a été vaincu par John lorsque celui-ci était en colère à cause de la mort de sa femme et n'a pas pu faire face à la manifestation de son esprit de Moriarty lorsqu'ils se sont battus, bien qu'il se soit retenu avec Jon et que ce qui s'est passé avec Moriarty était dans sa tête.[5]
Relations[]
John Watson[]
John et Sherlock partagent une relation unique. Sherlock ne peut pas être considéré comme un homme ayant beaucoup d'amis ; son attitude et ses paroles tranchantes éloignent souvent les gens, mais avec John, il fait un effort. John est intelligent, mais pas aussi brillant que Sherlock, car il n'a pas le sens de l'observation de Holmes et sa vision unique de la criminalité. John, cependant, a de grandes idées dans son analyse des relations, que Sherlock peut écarter, bien qu'elles s'avèrent souvent utiles. Les deux hommes semblent avoir des sens de l'humour très compatibles, et Sherlock semble généralement apprécier l'amour du danger et de la prise de risque de John, lui avouant même qu'il "n'a pas d'amis". [Il] en a juste un". Il ne le nie jamais lorsque les gens supposent à tort qu'ils sont des partenaires romantiques.
Lorsque John demande à Sherlock d'être son témoin, ce dernier est réduit au silence. Il révèle plus tard, lors d'un très long et touchant discours au mariage, qu'il ne s'attendait pas à être le témoin de quelqu'un parce qu'il "ne s'attendait pas à être le meilleur ami de quelqu'un".
Mycroft[]
Sherlock partage une relation quelque peu compliquée avec son frère aîné, Mycroft Holmes. Mycroft semble s'inquiéter beaucoup pour Sherlock, ralliant souvent les amis de son jeune frère pour assurer sa sécurité (en particulier pour éviter une rechute implicite), et essayant de protéger Sherlock lorsqu'ils pensent qu'Irene Adler est morte. Bien qu'il fasse parfois preuve d'une frustration enfantine à l'égard de son frère aîné, Sherlock ne le rejette jamais comme il le fait avec les clients ou les policiers qu'il trouve vraiment ennuyeux ou fastidieux. Mycroft semble également à l'aise avec l'idée d'aller demander de l'aide à Sherlock pour des questions de sécurité nationale, montrant une fois de plus un sens inné de la confiance en son jeune frère.
Eurus[]
Bien qu'il n'en soit pas conscient, sa jeune sœur, Eurus Holmes, a profondément influencé la personne de Sherlock au point que, comme l'a fait remarquer Mycroft, chaque choix que Sherlock a fait, chaque chemin qu'il a pris, l'homme qu'est Sherlock, est le souvenir que Sherlock garde d'Eurus. Lorsqu'Eurus fit disparaître Victor Trevor, le meilleur ami d'enfance de Sherlock, Sherlock fut si traumatisé par cette perte qu'il réécrivit ses souvenirs de Victor et d'Eurus, se souvenant de Victor comme de son chien de compagnie Barbe Rouge et oubliant complètement Eurus. Mycroft a noté que, à cause de ce qu'Eurus a fait, Sherlock a considérablement changé de personnalité, passant de l'enfant émotif qu'il était au froid, un homme déductif et logique qu'on lui a présenté comme dans la série.
Mme Hudson[]
Même s'il semble souvent tenir Mme Hudson pour acquise, il est enragé lorsqu'il découvre qu'elle a été malmenée par un agent américain, allant jusqu'à l'attacher et à le jeter par la fenêtre - tant de fois qu'il a "perdu le compte". Plus tard, lorsque John insiste pour qu'elle aille chez sa sœur pendant un certain temps, Sherlock lui dit que si Mme Hudson quittait Baker Street, "l'Angleterre tomberait", tout en mettant un bras réconfortant autour d'elle. Cette nature protectrice s'étend à tous ses amis, au point qu'il est prêt à simuler sa mort pour les sauver.[6]
Références[]
- ↑ https://bakerstreet.fandom.com/wiki/William_Sherlock_Scott_Holmes
- ↑ https://bakerstreet.fandom.com/wiki/William_Sherlock_Scott_Holmes
- ↑ https://bakerstreet.fandom.com/wiki/William_Sherlock_Scott_Holmes
- ↑ https://bakerstreet.fandom.com/wiki/William_Sherlock_Scott_Holmes
- ↑ https://bakerstreet.fandom.com/wiki/William_Sherlock_Scott_Holmes
- ↑ https://bakerstreet.fandom.com/wiki/William_Sherlock_Scott_Holmes
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